Rites de fin de vie (Loi de l'attraction)

Je voudrais partager avec vous certains écrits qui me tiennent à cœur. Ce sont des documents qui ont trouvé naissance après plusieurs années de recherches en fait :-) Sauf que je ne les ai assimilés que bien après.

Amitiés et bonne lecture à tous.

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Il y a toujours dans le deuil aigu un élément de culpabilité, qui vient sans doute de l'ambivalence de la relation amoureuse, où on se donne et on se satisfait en même temps, où on cherche la mutualité entre l'amant et l’aimée, et aussi du ressentiment à cause de la perte de liberté que l'amour entraîne inévitablement. La mort de l'objet aimé libère ces sentiments et entraîne la culpabilité.


Edgar Jackson, ''Grief and Religion'', Death in American Experience, op. cit. p. 223

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Un être humain malade qui pense et qui croit honnêtement que l'analgésique ou la chimiothérapie prescrit la guérira recevra ce dont elle en a eu une confiance absolue. Une guérison est largement possible en ce genre de cas.

Mais il ne faut pas confondre confiance en sa guérison et état de déni.

C'est à partir de là que la notion de la foi s'’installe. Guérir par la force de la volonté, que ce soit un exercice effectué par la patiente elle-même ou par l'un de ses proches ou de ses amis, requiert une confiance et une maîtrise totale de sa faculté métaphysique. Malheureusement, comme dans le cas de patients en phase terminale, le psychisme relâche automatiquement ses mécanismes de défense pour se protéger de la souffrance jusqu'à ce que l’appareil psychique soit prêt à ressentir la douleur. La loi de l'attraction reçoit des messages conflictuels.

La volonté par contre fait bel et bien partie de la vie et il nous faut en tenir compte. En effet, l'expérience de la mort chez les indiens d'Alaska par exemple est une question de choix. Lors d'études de thanatologie réalisées dans ce secteur, il nous a été révélé que dans presque tous les cas, les mourants savaient intuitivement que leur fin était proche ce qui les poussait à préparer leurs cérémonies d’adieu ainsi que de choisir l'heure à laquelle ils mourraient.

De quelles façons la loi de l'attraction travaille t – elle pour pouvoir permettre à ces personnes de développer une capacité d’intuition qui serait inconnue dans les sociétés où la mort apparaît comme un danger imminent ?

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Vidushi Bundhun
Le 30 décembre 2007

Document qui s'ensuivit en 2007 après que mon amie se soit sentie complètement désemparée face à la maladie terminale d’une petite fille qu’elle appréciait beaucoup.

Elle avait souhaité ce jour là voulu découvrir si les cellules cancéreuses pourraient être détruites par un travail mental assidu, réponse que je ne maîtrisais pas à l'époque.

Mais cela me fait énormément plaisir de partager mes écrits et mon fil de pensée avec vous :D

sujet vaste o combien intéressant
il a été démontré que le facteur psy joue un role capital dans la guérison et doit s'allier au facteur médical . Un traitement est plus efficace si le malade est persuadé de son intérêt
L'intuition qu'on va partir je l'ai constaté aussi pour un de mes proches qui a agi étrangement l'ultime fois où je l'ai rencontré en me confiant un objet personnel sans raison du moins ce que je pensais ce jour là . Mais peu de temps après on a appris son décès subi . L'avait il senti ?

La veille de son "départ" mon père m'a dit "au revoir" et m'a dit qu'il ne serait pas là quand je reviendrais le lendemain, et quand le lendemain à 14 h j'ai ressenti un grand froid et un profond malaise j'ai compris qu'il avait raison. Mon grand regret c'est de ne pas avoir passé cette dernière nuit avec lui.
Quand j'ai été malade à mon tour, j'ai refusé la visite chez le psy et pris la décision que ce serait la maladie qui se plierait à mon rythme de vie et non l'inverse.