La loi de l'Attraction.

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En partant du même principe que celui évoqué par la loi de l'attraction de l'univers newtonienne, la loi de l'attraction reste relative à une attirance mutuelle entre pensée et action. Tout ce qui pénètre dans la vie d'un individu y pénètre par le biais d'une 'séduction'. Cette séduction naît de l'’imagination de l'’individu ce qui veut dire, en d'autres mots, que les pensées et images contenues dans le cerveau sont responsables de ce que l'’individu attire dans sa vie. Qu'elles soient de nature conscientes, préméditées ou inconscientes, les pensées sont dotées d'un pouvoir créateur.

Lors de l'activation de cette loi d'attraction, il est essentiel de ne travailler qu'avec une seule chaîne de pensées sans que celle-ci ne soit bousculée par des idées contradictoires - d'où la notion de la foi ou une croyance infaillible en son but ou la réalisation de ses désirs. Car la loi de l'attraction réagit à toutes les pensées qu'’importe leur nature.

L'humain émet des pensées tout en faisant usage d'une possession magnétique innée. Lorsqu'une pensée est formulée, son pouvoir magnétique attire des pensées d'ordre identiques. Par exemple, lorsque quelqu'un se lance dans un schéma de pensées négatives face à de mauvaises notes reçues, il ne fait que soutenir une autre série de pensées de la même envergure ce qui aggrave sa situation émotionnelle avant d'avoir un impact dans le réel. De manière similaire, cette instance est reproduite à l'écoute d’une chanson qui a énormément plu. Il devient des fois difficile d'extirper du cerveau, les paroles d'une chanson, ceci étant relatif à la notion du plaisir relié à l'écoute et à la concentration. La chanson ayant plu, le point focal des pensées était dirigé uniquement vers celle-ci créant simultanément d'autres pensées similaires.

L'objectif à atteindre une fois en possession de cette similitude de pensées est de retenir fermement son désir sans entretenir de doutes. Une fois le désir en question enraciné, la loi de l'attraction est invoquée car elle réagit à la pensée dominante.

Plus on s'efforce à rêver de la même chose, plus s'établit un schéma de pensées constant. Ce schéma devient une forme de pensée dominante. La loi de l'attraction proposant l'attraction mutuelle, en conséquent, la pensée dominante attirera envers elle ce qui est propre à sa nature.

La pensée a une composante magnétique et cette composante agit sous une fréquence. Une pensée renvoyée à l'univers usera de son aimant pour attirer envers elle d'autres pensées étant établies sous la même fréquence. Tout ce qui est éjecté par le biais des pensées revient invariablement à sa source (cerveau ayant pensé cette pensée).

Lorsque vous nourrissez des désirs, vous émettez une fréquence dans le cosmos. La réalisation partielle ou totale de ce désir sera dépendante du nombre de doutes parsemé dans le cerveau. Moins il y a de doutes et plus la pensée dominante est accoudée de foi, plus la loi de l'attraction fonctionnera comme véritablement attendue.

La loi de l'attraction est une loi de la nature. Celle-ci reçoit les pensées et agit comme un miroir en renvoyant à l'humain ses pensées sous forme de matérialisation physique. L'humain est supérieur à cette loi car celle-ci est une 'esclave'. Il suffit de focaliser avec intérêt sur un désir sans laisser transparaître des doutes quand à sa réalisation pour que la loi obéisse aveuglément.

De ce fait lorsque l'humain répète mentalement : « J'en ai envie », ses pensées deviennent réalité. Paradoxalement, lorsque l'humain répètera mentalement : « Je n’ai pas envie de… », là aussi il y aura matérialisation des pensées.

Par exemple, un « Je suis sûre d’y arriver » suivi d'un, « mais si je n'y arrivais pas malgré tout » lance un message ambigu à la loi de l'attraction. Il est probable que le message sera déchiffré en accentuant le côté négatif de la pensée étant donné que le sentiment d'angoisse prédomine le sentiment d'assurance. Ce qui est certain, c'est que la loi de l'attraction réagira en fonction de la pensée et comme elle ne peut faire la distinction entre demande et réprobation ... voici ce qui aboutira en cas de demande mentale :

Exemple 1:

« Je ne veux pas que l'on m’adresse de façon aussi irrespectueuse »

Interprétée comme : « Parlez moi de cette façon » (C'est ce que je suis en train de penser)

Exemple 2:

« Je ne veux pas travailler avec cette Prof cette année ci. »

Interprétée comme : « Accordez moi des cours avec cette Prof. » (C'est ce que je suis en train de penser)

Et en mode similaire en prenant l'exemple d’une jeune fille qui souhaite avoir une rencontre avec son idole, nous pourrions nous retrouver face au schéma de pensée suivant:

« Je veux qu’il frappe à ma porte, qu'’il entre chez moi et qu'’il me dise qu'’il ne savait pas exactement pourquoi mais qu'’il avait eu une envie de venir ici » …. suivi d'un « Effectivement, cela n’est pas très réaliste » .

La seconde phrase a été dite consciemment mais est pensée à deux niveaux :

- Réalisme v/s Fantasmagorie

Cette pensée créé un effet boomerang en fonction de l'’interprétation au pied de la lettre de la loi de l'attraction. D'une part, la jeune fille souhaite y croire fermement mais d'autre part, l'’inconscient a un rôle primaire à jouer dans cette interaction car elle agit basé sur des données du passé : la fantasmagorie ne perdure pas dans la réalité. Et l'’inconscient est enveloppé de puissance.

Une manifestation plus simpliste d'images mentales de l’idole et de sa fan en interaction amicale est la meilleure façon de se rapprocher du but car tel est le véritable désir. Si elle s'’imagine que son idole et elle même soient de vrais amis et qu'elle ait confiance en cette idée – inéluctable sera le résultat recherché.

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Vidushi Bundhun
Le 30 décembre 2007